Depuis que j’ai créé ce Blog, mon objectif est de trouver des manières positives d’orienter notre transition vers notre monde de demain, en tirant les enseignements du passé (souvent proche) et du présent qui nous apporte des pistes chaque jour.
Cependant, quand le présent devient un mix de dystopies, comme "1984" ou "Le meilleur des mondes", je ne peux m’empêcher de donner à cet article une forme de coup de gueule, au son de : REVEILLEZ VOUS !... Et je reste poli.
Revenons sur le contexte et sur les faits :
Au début 2020, le monde découvre une nouvelle forme de grippe, comme chaque année. Celle-ci, viendrait de Chine, le grand ennemi économique du monde occidental, et serait particulièrement meurtrière.
Alors, les différents gouvernements minimisent l’épidémie dans un premier temps ; on se rappellera de notre président nous assurant que les masques ne servaient à rien.
Puis l’épidémie est soudainement élevée au rang de pandémie, et les mesures prises vont jusqu’à détruire ce qu’il reste de l’économie occidentale, tellement les moyens sont importants, sans pour autant être appropriés, puisque personne ne connait vraiment cette nouvelle grippe.
Alors, avant d’analyser la situation, revenons aux chiffres actuels. Pour cela, je m’appuie sur les chiffres publiés par l’INSEE, donc on ne peut plus officiels.
Et là, je constate que la mortalité due à la Covid-19 est plus faible que celle de la grippe saisonnière de 2017, dont personne ne se souvient d’ailleurs. Je retourne alors chercher les traces des articles qui parlent de la grippe de 2017 pour mieux m’imprégner de la situation de l’époque, et la presse nous explique en 2017, que cette grippe est peu violente et sera nettement moins meurtrière que l’année précédente. Pourtant quand je vois les pics de mortalité, ce n’est pas du tout ce qui transparait. Alors pourquoi notre civilisation a-t-elle réagi de la sorte en 2017 et surtout sur-réagi en 2020 ? Nous y reviendrons…
Pour en finir avec la lecture de cette courbe, nous voyons que la mortalité est revenue à son niveau le plus bas en Juin 2020, et qu’il n’y a donc pas de trace d’une deuxième vague, contrairement à ce que les merdias de masse voudraient nous faire croire.
Réaction « à chaud » :
Il y a un mois environ, je tombe sur un article paru dans France soir, qui s’intitule : Masqués pour très longtemps… Si l’article est particulièrement bien écrit, et je salue au passage Emilio, son auteur (resté anonyme par crainte de représailles peut être), il me laisse un gout amer et, comme je le fais toujours, je commence par vérifier les sources. Et plus je vérifie les sources, plus ce gout amer se propage… Serions nous face à de la manipulation mentale ? n’étant pas un grand adepte de la théorie du complot, je reste dubitatif. Mes soupons vont cependant se confirmer plus tard.
Si tout semble concorder à cette période, cela ne me décide pas pour autant à écrire cet article, n’étant pas naturellement porté sur la polémique.
Et puis, ces derniers jours, tout s’accélère. D’une part, ce qui était prédit dans cet article, notamment le masque obligatoire en plein air (au bord de la mer à Fréjus par exemple), se généralise ; vous devez même le porter en voiture si vous avez les vitres ouvertes dans certaines villes. D’autre part, les interventions de certains hommes publiques ou médias sont totalement hallucinantes. Je vous en livre une ou deux juste pour illustrer :
La Covid ne suffit plus pour tuer nos personnes âgées… Alors on les fait crever de chaud !
L’OMS avait déjà recommandé de ne pas utiliser la clim, et maintenant on les achève.
Alors que les consignes sanitaires en période de canicule sont de bien dégager les voies respiratoires, donc de ne pas porter de masque, et de rafraichir par tous les moyens disponibles, notre ministre de la santé (la sienne certainement) prône le contraire.
Tout se passe comme si les gouvernements voulaient éradiquer le maximum de « vieux » ; après tout, ce sont des gros consommateurs de ressources et ils ne contribuent plus au PIB…
Mais bon, le meilleur moyen pour brasser de l’air, c’est encore un ministre… Bon désolé, celle là elle est gratuite. Mais à ce stade d’absurdité, je n’ai pas pu m’en empêcher.
Allez, une deuxième pour la route, parue dans un magazine de santé :
Voilà ce à quoi nos comités scientifiques sont payés. Après le bout de caoutchouc pour un autre virus et le masque pour celui-là, peut être que le port de la combinaison NBC* devrait être généralisé ?
*NBC : combinaison totalement étanche qui protège des risques Nucléaires, Bactériologiques et Chimiques.
Voudrait-on aussi réduire la natalité du même coup ?
Décodage « à froid » :
Tout d’abord, revenons aux chiffres et à cette fameuse deuxième vague que les merdias de masse teasent à volonté, comme pour préparer les nouvelles privations de liberté de la rentrée sur le thème : vous n’avez pas été sages pendant les vacances, donc maintenant nous allons devoir sévir. En effet, aujourd’hui, ils font régulièrement état de nouveaux cas. Or, ces cas ne sont pas des gens malades. Ce sont des gens testés positifs et souvent porteurs sains, preuve que l’immunisation de la population est bien réelle, comme dans toute épidémie. Et puis, plus on teste, plus on a de cas, c’est mathématique. En plus on vous présente des données cumulatives, c’est-à-dire que l’on ajoute à chaque nouveau cas, les cas du jour précédent ; il est donc évident que la courbe ne peut pas descendre…
En fait, si nous voulons donner une mesure de l’évolution du virus, il faut comptabiliser les entrées en services de réanimation, et là ça se compte sur les doigts des deux mains, guère plus !
L’épidémie, dont je rappelle qu’elle est moins meurtrière que celle de 2017, est donc bel et bien finie, et les journalistes qui attisent la peur autour de cette chimérique deuxième vague sont malhonnêtes… ou téléguidés.
De plus en plus de médecins osent parler, et dénoncent cette manipulation mentale dont nous sommes victimes, mais ô combien il est difficile de s’attaquer au dogme de la pensée unique. Cela fait écho à l’article que j’écrivais le 6 Juillet sur notre société en pertes de repères. Le premier à s’être insurgé en proposant une solution qui échappait au contrôle de la nomenklatura qui gouverne notre monde, fut le professeur Raoult, et nous avons vu comment il a été traité par les merdias…
Il y a d’autres traces de la manipulation mentale qui sont avant-coureurs. Par exemple, immédiatement avant cette crise, les médias mondiaux avaient dramatisé la rougeole, ce qui permettait aux grands labos de vendre des obligations vaccinales dans de nombreux pays. La peur, ici basée sur la santé, permettait de générer du PIB, ce sacro-saint PIB qui reste le dernier repère de notre monde occidental.
Si nous revenons en France au début de la Covid, nous sommes en situation de rupture de stock de masques, notamment parce que nous avons donné à la Chine ceux qui nous restaient. Le gouvernement n’avait pas encore pris la mesure de l’aubaine qu’allait ensuite représenter cette grippe. Alors notre président intervient à chaud en annonçant que le masque ne sert à rien. En général les réactions à chaud sont plus souvent porteuses de vérité, puisque le message n’a pas eu le temps d’être corrompu. Et puis des entreprises investissent massivement dans la fabrication ou l’importation de masques. Ces entreprises ne sont pas philanthropes ; elles vont récupérer beaucoup plus que leur investissement, surtout quand on connait l’envolée du prix des masques, à condition que le gouvernement généralise le port du masque. Au passage, il faut rappeler à quoi sert le masque : il sert, si vous êtes infecté, à limiter la propagation du virus. Or, il est préférable que les gens infectés soient priés de rester chez eux ou à l’hôpital pour les cas graves. Ce qu’il faut savoir également, c’est que seuls les masques chirurgicaux sont aseptisés. Ceux que vous trouvez un peu partout en vente « libre » n’ont subis aucun traitement particulier et ont voyagé pour certains de divers pays comme la Chine, sachant que les mesures sanitaires sur le transport de fret n’on rien à voir avec ce qui est imposé aujourd’hui pour le transport des passagers. En plus, si vous réutilisez votre masque ou si vous le touchez pour le remettre régulièrement sur votre nez, il devient rapidement un nid à microbes, potentiellement bien plus dangereux que ce qu’il est sensé empêcher.
Et puis le vaccin arrive ! un vaccin préparé à la hâte sur un virus que l’on ne connait toujours pas bien. Ce vaccin présente un risque potentiel tel, que les laboratoires qui y travaillent ont déjà demandé une amnistie pour les dommages collatéraux (ou effets indésirables) qu’ils allaient provoquer. Le pire dans tout ça, c’est qu’une enquête récente nous informe qu’un tiers des français ne souhaiterait pas se faire vacciner. Seulement un tiers !
Analyse et tentative d’explication :
Nous sommes donc face à une manipulation mentale, orchestrée par une nomenklatura dirigeante dans l’ombre (pas nos hommes politiques qui n’en sont que les pantins), utilisant la peur comme arme pour progressivement réduire les libertés individuelles, et donc recentrer les individus sur ce qu’ils sont censés faire : produire du PIB.
Si nous faisons un parallèle avec ce qu’écrivait George Orwell dans 1984, nous voyons que la manipulation mentale de Big Brother avait pour effet de s’attaquer aux besoins vitaux de l’homme :
La liberté, c’est ce que nous faisons avec le masque, les surrèglementations (de vitesse et autres). Pensez qu’en Australie, l’obligation d’un mandat pour intervenir chez vous a été supprimée sous prétexte de la Covid… En Région parisienne on a vu des thérapeutes se faire emmener de force en quatorzaine parce qu’ils avaient accueilli des patients suivis par l’application « StopCovid » sur les téléphones portables…
La capacité à penser en réduisant la portée du langage (la novlangue dans 1984 n’est pas sans rappeler les multiples réformes de l’éducation nationale et la perte progressive de la maitrise du Français par les élèves ; on y ajoute les langages SMS et autres simplifications), et la capacité à communiquer (on notera ici le contrôle de la communication, fermeture des chaines YouTube et page Facebook des lanceurs d’alerte qui ont osé avoir un avis différent du dogme de la pensée unique, on notera également la double pensée, le « en même temps », qui permet de faire une chose et son contraire.
La mémoire. Les médias et les livres d’histoire ont tendance à ériger le fait divers au rang d’information, ce qui à pour effet de distordre totalement le message en occultant progressivement les faits qui pourrait s’opposer au dogme de la pensée unique.
La fraternité. La distanciation sociale en est une des armes de destruction massive, mais aussi le fait que chaque personne qui ne porte pas le signe distinctif de l’obéissance à Big Brother, le masque, est considéré comme un pariât s’attirant un regard méprisant des autres et pourquoi pas une dénonciation (nous n’en sommes pas loin, et ils nous expliqueront que c’est pour la santé du peuple…)
Ce que dénonce George Orwell dans son livre, ce n’est pas tant les méthodes utilisées, que ce qui conduit à une telle société. C’est aussi une approche que nous retrouvons dans « le meilleur des mondes » d’Aldous Huxley, où c’est finalement le comportement collectif qui conduit à cette société dans laquelle tout est faussé et où le consumérisme effréné donne l’illusion du bonheur en procurant une possibilité de plaisir immédiat.
Ceci est un point important du comportement humain. Le bonheur ne peut pas vous être fourni par une quelconque substance. De plus, il n’est presque jamais un comportement isolé et se nourrit du partage entre individus. Le plaisir lui, peut vous être apporté de différentes manières, et notamment par la consommation. Mais seul le plaisir est addictif, et qui plus est, pour augmenter cette addiction, il faut que l’accès au plaisir ne soit pas systématique, ainsi le niveau de stress (de ne pas obtenir la récompense) augmente, ce qui augmente encore le plaisir, par exemple quand un petit « like » vient s’afficher sur votre Facebook. Si vous pensez que tout ceci est purement fortuit, sachez qu’il y a des sociétés aux Etats-Unis qui sont spécialisées dans le développement de ces méthodes, afin de les intégrer dans nos applications, ou d’orienter les publicités. Comment ? l’humain serait un rat de laboratoire au service de quelques manipulateurs ?
Mais y a-t-il des manipulateurs et quel est leur pouvoir ?
En fait, Big Brother, c’est nous et notre besoin que rien ne bouge. S’il y a des manipulateurs, cette nomenklatura de l’ombre, qui ont des intérêts égoïstes dans cette période de l’histoire de notre civilisation, et nous y reviendrons, ce qui leur donne leur pouvoir, est la croyance que la masse des gens ont en la pensée unique. Ainsi, si la plupart des gens ont peur de mourir, et on va attiser cette peur au point qu’ils acceptent de ne plus vivre libre. C’est ainsi que nous avons érigé « le meilleur des mondes » et la nomenklatura des manipulateurs n’aura plus qu’a nous piloter comme des machines à générer du PIB.
Le masque et la Covid sont en cela d’excellents symboles. Ils font porter une muselière à la population, comme pour les faire taire sous le prétexte d’un virus, alors que l’âge médian de mortalité se situe autour de 84 ans…
Alors oui, il est nécessaire de les faire taire. Mais pourquoi maintenant et pas en 2017, avec la précédente grippe saisonnière qui était plus meurtrière (en dont une des souches était le H1N1 sous une forme mutée).
Et bien mon approche est la suivante : en 2017, nos dirigeants, dont nous savons qu’ils sont manipulés par des organisations plus obscures (ceux qui détiennent les finances), avaient encore l’illusion de pouvoir changer les choses.
Ils avaient encore un espoir de maintenir le PIB de leur pays, et nous savons que c’est le PIB qui paye l’éducation, la justice, la santé, la sécurité… Bref, c’est ce que j’explique dans mon livre "LA TRANSITION", sans PIB pas de société. Ils avaient pourtant tous connaissance de l’étude de Denis Meadows de 1972, ou alors on peut se poser la question de l’utilité des grandes écoles dont ils sont issus, mais pensaient que notre civilisation serait plus forte que les élucubrations de quelques scientifiques du MIT.
Et puis, il y a ce que l’on appelle la grande accélération, et très rapidement, les choses commencent à échapper à tout contrôle. Le système de santé se casse la figure par manque de moyens, l’éducation c’était déjà le cas depuis longtemps mais nos gouvernants arrivaient à planquer ça sous le tapis, la sécurité n’est plus assurée, notamment dans les banlieues où des factions règlent les problèmes entre eux avec une police qui laisse faire, faute de moyens. Et puis il commence à y avoir des troubles de l’ordre social, avec les gilets jaunes par exemple, qui n’ont pas trop compris ce qu’ils faisaient là mais qui ont passablement agacé notre gouvernement. Il y a aussi la question de l’environnement, pour laquelle aucun ministre n’a pu prendre des mesures qui allaient à l’encontre de l’économie à court terme, conduisant au constat que rien n’a été fait, malgré de grandes annonces, COP et autres.
Bref, tout ceux-ci sont des signes avant-coureurs de l’effondrement que décrit Meadows dans son étude. Et qui plus est, les dates coïncident. Les courbes n’ont quasiment pas varié depuis 1972, preuve de la folie de cette civilisation, incapable d’infléchir un modèle de société voué à sa destruction. C’est cette fameuse addiction à la croissance du PIB qui est en cause, et la peur des hommes de ne plus avoir aussi bien que ce qu’ils avaient avant, qui permet leur manipulation.
Alors, ce virus providentiel qui permit de museler la population et de continuer à garder l’illusion du pouvoir, fut une providence pour certains…
Alors, comment sortir de cette spirale infernale ?
La première chose est d’arrêter d’avoir peur. Pour cela, il faut admettre que nous ne contrôlons pas tout, et que la vie a aussi une fin, et que celle-ci n’est pas écrite au préalable comme dans le meilleur des mondes.
La seconde est d’arrêter de s’en remettre à la médecine pour régler les problèmes que nous ne devons régler nous-mêmes. Une meilleure alimentation et une bonne hygiène de vie sont bien plus efficaces que tous les traitements que l’on pourra vous administrer à grand renfort de dollars.
La troisième est de rechercher des solutions locales. En effet, si le circuit court reste une bonne manière pour ne pas trop subir l’impact d’une déplétion, c’est aussi les petits systèmes indépendants et autonomes qui échappent le plus facilement au contrôle de Big Brother. Et dans la période qui arrive, il est évident que le travail manuel et la capacité de certains à inventer des solutions simples et abordables pour résoudre des problèmes du quotidien, vont prendre beaucoup de valeur, et vont représenter un intérêt pour ceux qui ont un rôle actuel d’administration ou de commerce et ne génèrent donc pas de richesse de manière directe (une grande partie de nos habitants des pays d’occident puisque la manufacture du monde est devenue la Chine). Le retour aux vraies valeurs va donc laisser beaucoup de monde sur le carreau.
Enfin, il faut regarder les choses en face, comprendre que nous allons vivre une période charnière, que tous n’y survivront pas, et que ceux qui restent ont un nouveau monde à bâtir. Il y a donc du pain sur la planche pour ceux qui veulent relever le défi dès maintenant.
Ma conclusion sera donc :
Arrêtez d’avoir peur et de croire béatement les merdias de masse !
Vérifiez toujours vos sources, elles sont souvent moins anxiogènes que ce que la pensée unique propage !
Prenez les choses en main à votre échelle, et ainsi vous aurez le contrôle de votre avenir !
Partagez vos opinions et exprimez-vous ! vous vous apercevrez que vous n'êtes pas seuls…
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